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Marie Adélaïde Olympe CHAIX (1814-1899)

 Marie Adélaïde Olympe CHAIX, Sœur Saint-Henri en religion, fille d'Antoine Laurent CHAIX, cultivateur âgé de 25 ans, et d'Adélaïde Geneviève LOUIS, ménagère âgée de 28 ans, naquit le mercredi 27 avril 1814, à 10h00, dans la commune de la Garde-Adhémar (Drôme).


Sœur Saint-Henri

Ses parents s'étaient mariés dans le même village le mercredi 15 février 1809, et eurent trois enfants:
  • Pierre Louis Laurent, né le 23 avril 1811
  • Marie Adélaïde Olympe (ci dessus)
  • Hipolite François, né le 04 juillet 1820, marié et père de famille

En 1835, alors que sœur Saint-Henri est âgée de 21 ans et qu'elle est novice dans la congrégation du Saint-Sacrement, le choléra se propage parmi la population de Valence (Drôme).
Elle demande immédiatement à être envoyée dans cette ville en tant qu'infirmière, pour soigner les victimes du fléau.
On raconte qu'elle fit vaillamment son travaille et qu'elle ne quitta l'hôpital que lorsque le dernier malade en fut sorti.


En 1836, c'est à l'hôpital de Die (Drôme) qu'elle est envoyée, pour s'occuper des malades et des enfants.
Elle y resta 20 ans et reçu une médaille d'honneur de la part de la Société d'encouragement pour l'enseignement primaire, pour récompenser son dévouement.


En 1856, âgée de 42 ans, elle devient directrice du service des salles militaires et civiles de l'hôpital de Romans (Romans-sur-Isère, Drôme).
Sœur Saint-Henri y restera jusqu'à sa mort, soit plus de quarante ans au service des malades militaires, refusant de prendre la "retraite" à laquelle elle avait pourtant droit.

Mais avant de rejoindre le Seigneur, une foule de personne réclamèrent qu'elle reçoive la légion d'honneur ...
Ce fut chose faite en 1895 ! 



Voici l'allocution prononcée par le général Zédé, lors de la remise de la médaille à sœur Saint-Henri, le 25 juillet 1895 :
"Ma vénérée sœur, je n'offenserai pas votre modestie en vous disant en face toute l'admiration que j'éprouve pour vos vertus.
La municipalité de Romans et l'autorité militaire sont heureuses d'avoir obtenu pour vous, du gouvernement de la République, qui sait récompenser tous les mérites, la décoration de la Légion d'honneur.
C'est la récompense des braves et nul ne la mérite plus que vous qui, depuis cinquante ans, êtes au péril.
Nous vous souhaitons de la porter en attendant le jour, où Dieu vous rappellera à lui, pour vous décerner la palme qu'il réserve à ses élus."


Dés lors, elle reçut quantité de lettres et de télégrammes pour la féliciter.

Extrait des Annales Dauphinoises, Tome II, 1901



C'est le mardi 07 novembre 1899, à l'âge honorable de 85 ans, que sœur Saint-Henri s'endort dans l'Espérance de la Résurrection, à 19h00, dans l'hospice de Romans où elle a tant pratiqué la charité.

Sa tombe située au cimetière de Romans-sur-Isère (Drôme)



Voir son arbre généalogique : Cliquez-ici
Sources : Archives départementales de la Drôme, Archives de Roman-sur-Isère, Journal le Dauphiné, Annales dauphinoises (Vous trouverez les liens vers les sources précises sur l'arbre généalogique)


06 novembre 2020

165 ans du couronnement de la Vierge de Fresneau - Marsanne (Drôme) - 08/09/2020

Procession du mardi 08 septembre 2020



 Il y a 165 ans avait lieu dans le vallon de Fresneau, la première fête en l'honneur du couronnement de la Vierge Marie.

4 Évêques étaient présents, et pas moins de 20 000 personnes, dans un village qui comptait alors, environ 1480 habitants.

Depuis quelques années, c'est en moyenne 400 catholiques qui viennent de toute la Drôme et des départements voisins, assister à la messe, au pique-nique et à la procession qui est rythmée par la récitation du chapelet. 

Cette année, la fête tombant un mardi, et les événements des derniers mois au sujet d'un certain virus, font que nous étions je pense, un peu moins nombreux.

Ce fut ma première fête du couronnement de la Vierge Marie et de sa Nativité, première d'une longue série je l'espère... 

La procession

Statue de la Vierge Marie et l'enfant Jésus
Statue de la Vierge Marie et l'enfant Jésus


Arrêt de la procession devant la chapelle 
et la source miraculeuse - 2020


Mgr Pierre-Yves MICHEL
 durant le chapelet




Présence de l'Ordre de Malte pour
assurer la sécurité de la procession



                       

Mgr Pierre-Yves MICHEL,
évêque de Valence (Drôme)

Monseigneur Pierre-Yves MICHEL, évêque du diocèse de Valence, a profité de cette journée pour faire plusieurs annonces.

Il a aussi évoqué les 4 séminaristes du diocèse actuellement en formation : 

  • 1 en année propédeutique
  • 1 en premier cycle
  • 2 en deuxième cycle
Conclusion : il n'y aura pas d'ordinations presbytérales dans le diocèse avant plusieurs années ...

Devant le sanctuaire de Fresneau



Les religieuses du Carmel de la Vierge Missionnaire

Quelques sœurs de la communauté du Carmel de la Vierge Missionnaire étaient présentes et ce sont occupées de l'animation musicale de cette journée.




Si Dieu le permet, je serai là dans 35 ans, pour vivre et photographier le 200ème rassemblement qui dépassera, croyons-y, les 45000 participants présents lors du centenaire ! 

18 juillet 2020

(Drôme) Liste des prêtres par ordre chronologique

Liste des prêtres du département de la Drôme (26) par ordre chronologique de naissance :



Auguste Frédéric JULLIEN (1849-1916)

    Auguste Frédéric JULLIEN*, alias Frédéric, fils d'Auguste JULLIEN, cultivateur âgé de 35 ans,  et de Marie Anne CONIL , tailleuse âgée de 39 ans,  naquit le lundi 18 juin 1849, à 16h, dans la maison de ses parents, située dans le village Barret-de-Lioure dans le département de la Drôme.

La signature de l'abbé Frédéric JULLIEN

Ses parents se marièrent dans le même village, le 25 juillet 1844 et eurent d'abord une fille, le 22 janvier 1845, qu'ils prénommèrent : Marie Rose Marthe ( le prénom de sa mère, celui de sa grand-mère paternelle et celui de sa grand-mère maternelle).

Malheureusement, son âme retourna au Seigneur le 21 novembre 1847, alors qu'elle n'est âgée que d'un peu moins de 3 ans.

    Frédéric sera leur deuxième et dernier enfant, et grandira donc en fils unique, sans avoir connu sa sœur. Il a néanmoins un demi-frère plus âgé,  Simon CONIL, militaire puis épicier à Montauban-sur-l'Ouvèze (Drôme), né en 1831 d'une union entre sa mère Marie Anne CONIL et un homme inconnu.
Frédéric ne connaîtra pas non plus ses grands-parents paternels, Auguste JULLIEN et Rose LAMBERT, qui moururent respectivement en  1845 et 1831, à l'âge de 56 et 39 ans. Il hérita du prénom "Auguste", qui se transmet de père en fils dans la branche paternelle des JULLIEN.


Les fiches de recensements nous permettent d'apprendre qu'il fut domicilié chez ses parents jusqu'au moins l'âge de 17 ans, en 1866 , époque à laquelle il travaille comme cultivateur. 

Je perd ensuite sa trace, et ne le retrouve qu'en 1872 où il a commencé sa formation pour devenir prêtre, en recevant la Tonsure le 25 mai 1872.
L'année suivante, il reçoit les Ordres Mineurs le 07 juin 1873, puis est ordonné au sous-diaconat le 30 mai 1874 et au diaconat le 19 décembre 1874.
Le 22 mai 1875, enfin, il est ordonné prêtre pour le diocèse de Valence, quelques semaines avant ses 26 ans. Il débutera son ministère sacerdotal en tant que vicaire de Mirabel-aux-baronnies (Drôme) le 1er juillet 1875.

Le 10 octobre 1876, il devient curé de Rottier (Drôme), puis curé de Ferrassières (Drôme) le 20 mai 1878. Dans ce village, il fera érigé une statue de Sainte Jeanne d'Arc sur la fontaine publique.
Le dimanche 03 août 1881, il assiste en tant que témoin au mariage de sa nièce Marie Constance CONIL, fille de Simon CONIL, qui se déroule à Montauban sur l'Ouvèze (Drôme). Cela laisse présumer qu'il était relativement proche de son demi-frère et de sa famille.

Il resta à Ferrassières jusqu'au début de l'année 1896 et c'est dans ce village que mourront ses parents domiciliés chez lui ;
    - Son père le mercredi 21 décembre 1887 à l'âge de 73 ans,
    - Sa mère le jeudi 16 novembre 1893 à l'âge de 83 ans.


Le 22 mai 1896, il devient curé de Puy-Saint-Martin (Drôme), suite au décès de l'ancien abbé, Marcel Joseph COLLET

Comment son père a-t-il réagit en apprenant que son enfant unique choisissait le chemin du sacerdoce, mettant fin à sa descendance  ? Nous l'ignorons, mais nous ne pouvons que souhaiter qu'il en fut heureux.

    Voilà pour l'instant tout ce que j'ai trouvé sur son ministère, je peux également affirmer qu'il vivait avec une de ses cousines, plus âgée d'environ 9 ans, qui était sa cuisinière, de 1896 jusqu'au décès de celle-ci en 1912. Elle se prénomme Marie Thérèse JULLIEN, célibataire, et était surement une cousine éloignée car je n'ai trouvé aucun lien direct entre eux dans leur arbre respectif, malgré les actes où ils sont notés comme cousins.
L'abbé JULLIEN était également très dévot envers la Très Sainte Vierge Marie, et durant sa vie, il a orienté vers le sacerdoce au moins quatre jeunes chez qui il avait perçut une vocation à la prêtrise : Les frères Daniel Julien ROUX et Ernest Léon ROUX, de Ferrassières (Drôme), leur cousin Irénée CHAPPON, et un certain Benoît.

L'abbé Auguste Frédéric JULLIEN, mourut dans l'Espérance de la Résurrection, le mercredi 19 juillet 1916, à 05h00 du matin, dans son domicile situé à Puy-Saint-Martin, âgé de 67 ans, des suites d'un ulcère fétide à l'oreille droite.


La plaque funéraire est abîmée et la peinture est partie
[Photo juillet 2020] 

Transcription de la plaque funéraire : 
"Ici reposent
L'abbé  Fric JULLIEN
Curé à Puy St Martin
décédé le 19 juillet 1916
à l'âge de 68 ans
&
Melle Thérèse JULLIEN
décédée en 1911 à l'âge
de 70 ans

Regrettés de tous 
leur parents" 

La tombe de l'abbé Frédéric JULLIEN en juillet 2020
Sa tombe est visible au cimetière de la commune du décès, où il est enterré avec sa cousine, et le précédent curé de la paroisse, tous deux nommés ci-dessus.
Avant mon premier passage en 2019, elle ne comportait ni crucifix, ni fleurs...

* A noter que sur certains actes, son nom de famille est orthographié avec un seul L ; JULIEN

Voir son arbre généalogique : cliquez-ici
Sources : 
- Archives Départementales de la  Drôme (Vous trouverez les liens vers les sources précises en allant sur l'arbre généalogique) 
- Livre : "Curés et desservants des paroisses de la Drôme, de la Révolution à nos jours" de l'abbé Adrien LOCHE
- Livre : "Les prêtres dans la Drôme, du Concordat à nos jours, Tome 2" de l'abbé Adrien LOCHE

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Mise à jour le 25 novembre 2021

05 juin 2020

Vierge du Vœu de Roynac (26)

Cette statue représentant la Vierge Marie est une des 78 "Vierge du Vœu du 15 août 1944" que comporte le département Drômois.
(Pour connaitre l'histoire des ces statues, allez lire cet article : ici )

Vierge du Vœu de Roynac

Sur un coté de la statue se trouve vraisemblablement la signature du créateur mais malheureusement la couche de peinture qui la recouvre la rend illisible.
La plaque de marbre elle, en revanche, est encore lisible, malgré que la couleur ait disparu des lettres. 

"Reconnaissants
 à Notre-Dame 
qui les a protégés
 en 1944 
lors de la libération
les paroissiens de Roynac
ont élevés ce monument"

Plaque de marbre sur le socle de la statue



 Tout comme la statue du village voisin, Puy-Saint-Martin, il s'agit d'une représentation de la Vierge Marie de type " Vierge de Lourdes", avec les mains jointes et un chapelet suspendu à son bras droit.

La Vierge du Vœu de Roynac

Elle est en parfait état de conservation, ce qui fait plaisir à voir.

La Vierge du Vœu de Roynac


Située à la sortie du village, sur la route en direction de Puy-Saint-Martin, à gauche dans le virage, il faut faire attention à ne pas rouler trop vite pour la repérer !



Statue de la Vierge du Vœu de Roynac

02 juin 2020

Vierge du Vœu de Puy-Saint-Martin (Drôme)

Tout ce que nous savons de cette statue, c'est que c'est une des 78 "Vierge du Vœu du 15 août 1944" que comporte le département Drômois.
(Pour connaitre l'histoire des ces statues, allez lire cet article : ici )


Vierge du Vœu de Puy-Saint-Martin (Drôme)
[Photo personnelle - mai 2020]

Aucune mention du sculpteur ne figure sur l'oeuvre, ni de date, et je ne n'ai rien trouvé non plus dans les archives.
Seule la présence d'une plaque de marbre brisée nous indique la raison de cette statue :
"A Notre Dame de Lourdes sa protectrice, la paroisse de Puy St Martin reconnaissante a élevé cette statue en exécution d'un vœu exprimé le 15 août 1944 lors de la libération" 

Plaque de marbre située sur le socle de la statue
[Photo personnelle - Mai  2020]


Il s'agit d'une statue de type " Vierge de Lourdes", d'un blanc immaculé, mains jointes, portant un chapelet suspendu à son bras droit .

Vierge du Vœu de Puy-Saint-Martin (26)
[Photo personnelle - octobre 2019]

Vierge du Vœu de Puy-Saint-Martin 
[Photo personnelle - mai 2020]

Son nettoyage ne doit pas être ancien car j'ai retrouvé des photos sur internet où la pauvre était plus proche du gris-noir que du blanc ! 

La statue avant nettoyage
[ copyright : Histoire et Patrimoine Drômois]


Du haut de la montée Chanteperdrix, elle surplombe la départementale N°6 et veille sur les habitants et voyageurs de passage.

[Photo personnelle - Juin 2020]


[Photo personnelle - Mai 2020]





Source photo de la statue avant nettoyage : Memospace

Les Vierges du Vœu du 15 août 1944

Si vous vous êtes déjà promené dans la Drôme, et que vous êtes observateur, vous avez surement croisé, peut-être sans le savoir, des statues de la Vierge Marie, dites "Vierge du Vœu".
Ces statues sont vraisemblablement propres à ce département et l'origine de leur histoire remonte à la Seconde Guerre Mondiale .

Vierge du Vœu à Puy-Saint-Martin (Drôme)
[Photo personnelle] 


Tout commence le 09 juillet 1944, lorsqu'à Die (Drôme), l'abbé Jean BOSSAN pousse ses paroissiens à implorer la protection de la Sainte Vierge Marie et à faire le vœu de remplacer une statue de la Vierge si la ville est protégée de l'ennemi.
Mais c'est Monseigneur Camille PIC, évêque du diocèse de Valence-sur-Rhône, Die et Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme), qui dans la semaine religieuse du diocèse du 26 juillet 1944, lance le mouvement de la Vierge du Vœu dans toute la Drôme.

Monseigneur Camille PIC (1876-1951)


Voici un extrait de sa déclaration :
"En chacune des paroisses de ce diocèse, le clergé, et les chefs de foyers [...] sont invités à placer sous la protection de Marie en même temps que leur personne, les personnes et les biens dont ils ont la garde. Ils feront en outre le double vœu d'ériger, en un lieu élevé, public ou privé, un sanctuaire ou une statue à la Vierge sur le territoire de la paroisse et de venir chaque année en pèlerinage remercier Notre Mère de sa protection efficace."
Il est décidé que le vœu devra être prononcé le 15 août 1944, jour de la fête de l'Assomption.
A ce moment là, la Drôme est dans un état dramatique, le massif du Vercors a été investi par les Allemands qui détruisent la Résistance et commencent des exactions sur les civils.

Mais, c'est justement le 15 août 1944 que va avoir lieu le débarquement de Provence, une opération militaire menée par les troupes alliées à la France, qui aboutira à la libération de la Provence en deux semaines.
Serait-ce là, la réponse Divine apportée à ce vœu ? 


Les Drômois respecteront leur promesse et pas moins de 78 statues et sanctuaires seront érigés (certaines statues sont plus anciennes et ont été "réutilisées") , essentiellement à l'Ouest du département, le long de la vallée du Rhône, l'Est étant alors plutôt protestant .


La première inauguration d'une de ces statues, eut lieu à Ambonil (26), le 15 juillet 1945, et la dernière sera érigée en 1961 à Montchenu (26).

Témoins d'une époque où les français étaient encore empreints d'une grande religiosité, elles continuent à veiller sur leur commune respective, bien que certaines soient moins bien entretenues que d'autres, et que peu nombreux sont les habitants qui continuent à y venir en pèlerinage.


( Au fur et à mesure, un article avec photos, pour chacune de ces statues sera publié sur ce blog. 
Les liens seront notés ci-dessous.) 









Source photo Mgr PIC : Médiathèque du diocèse de Gap




01 juin 2020

Table générale des matières







(Cliquez sur le mot pour être redirigé vers la page correspondante.) 

Présentation

Natif de la Drôme Provençale, je suis un jeune passionné d'Histoire et de généalogie, âgé de 24 ans.
Après avoir commencé à accumuler les noms et prénoms d'ancêtres et visiter certains villages, j'ai voulu redonner vie au passé en créant ce blog, afin de transmettre l'Histoire et les mémoires de la France Catholique.
J'ai entrepris un grand projet, celui de référencer chaque prêtre né ou mort dans la Drôme, afin de reconstituer grâce aux archives, leur vie et leur généalogie ( nombre de frères et sœurs, métiers de leurs parents, dates, lieux  et faits marquants de leur ministère etc...).                                                                                                     
Sur chaque fiche de personne, se trouvera un lien vers son arbre généalogique réalisé sur le site Geneanet. Peut être découvrirez-vous que vous êtes liés avec l'un d'entre eux par une branche commune !
Le même projet est prévu pour les religieux et religieuses, même si les informations sont dans leurs cas, souvent moins nombreuses.


Le but est de sauvegarder la Mémoire Catholique, afin de sortir de l'oubli des personnes ayant consacré leur vie à Dieu en renonçant à une descendance dans la chair.

De ce fait, une fois leur identité partagée, nous pourrons prier pour le repos de leurs âmes.
Vous pouvez également me proposer des prêtres, religieux ou religieuses à ajouter, n'hésitez pas à me contacter à cette adresse : histoire.et.memoires@gmail.com
Je vous souhaite la Paix du Christ !